Ces cinq dernières années, les constructeurs automobiles ont, pour la plupart,
abandonné les moteurs Diesel classiques. Des mécaniques plus modernes, dotées
de technologies d'injection très sophistiquées, les remplacent. Du coup, à millésime
égal, certains modèles se trouvent en occasion aux côtés de leurs homologue à
moteur Diesel classique et vendus à des tarifs à peine supérieurs. La tentation de se
lancer vers les nouveau concepts est grande. Mais voilà, les débuts de carrière de
ces moteurs ont été entachés par des incidents inquiétants et parfois coûteux. Des
défauts qui n'encouragent pas à l'achat des premières générations. Les plus
récentes affichent meilleur moral. Mais mieux vaut s'en assurer avant de faire le
chèque.
Rappel des techniques
1Les traditionnelles
L'injection indirecte
C'est la technologie la plus ancienne. Le gazole est injecté dans une préchambre
située dans la culasse, avant le cylindre. Malgré de bonnes performances, c'est la
moins sobre et la plus polluante. Mais sa fiabilité n'est pas à remettre en cause. En
témoignent les nombreux modèles qui affichent plus de 250 000 km, sans avoir
rencontré d'ennuis majeurs.
L'injection directe
Elle est apparue pour la première fois à la fin des années 1980, sur la Fiat Croma. Le
gazole est injecté directement dans le cylindre. Plus économique en carburant que
l'injection indirecte, elle est également plus performante. Seul reproche : elle est
bruyante à froid.
2Les modernes
L'injection Common rail
Alfa Romeo l'a inaugurée avec la 156 JTD fin 1997. Il s'agit d'une injection directe à
haute pression (1 600 bars), plus performante et plus sobre que l'injection Diesel
traditionnelle. Mais elle a parfois connu des soucis de jeunesse côté fiabilité.
Les injecteurs-pompes
Le groupe Volkswagen (Audi, Seat, Skoda, VW) a opté pour un système à injecteurspompes
(un par cylindre), offrant des pressions encore plus élevées (2 000 bars).
D'où d'excellentes performances et une consommation très faible. Bonne fiabilité
d'ensemble
abandonné les moteurs Diesel classiques. Des mécaniques plus modernes, dotées
de technologies d'injection très sophistiquées, les remplacent. Du coup, à millésime
égal, certains modèles se trouvent en occasion aux côtés de leurs homologue à
moteur Diesel classique et vendus à des tarifs à peine supérieurs. La tentation de se
lancer vers les nouveau concepts est grande. Mais voilà, les débuts de carrière de
ces moteurs ont été entachés par des incidents inquiétants et parfois coûteux. Des
défauts qui n'encouragent pas à l'achat des premières générations. Les plus
récentes affichent meilleur moral. Mais mieux vaut s'en assurer avant de faire le
chèque.
Rappel des techniques
1Les traditionnelles
L'injection indirecte
C'est la technologie la plus ancienne. Le gazole est injecté dans une préchambre
située dans la culasse, avant le cylindre. Malgré de bonnes performances, c'est la
moins sobre et la plus polluante. Mais sa fiabilité n'est pas à remettre en cause. En
témoignent les nombreux modèles qui affichent plus de 250 000 km, sans avoir
rencontré d'ennuis majeurs.
L'injection directe
Elle est apparue pour la première fois à la fin des années 1980, sur la Fiat Croma. Le
gazole est injecté directement dans le cylindre. Plus économique en carburant que
l'injection indirecte, elle est également plus performante. Seul reproche : elle est
bruyante à froid.
2Les modernes
L'injection Common rail
Alfa Romeo l'a inaugurée avec la 156 JTD fin 1997. Il s'agit d'une injection directe à
haute pression (1 600 bars), plus performante et plus sobre que l'injection Diesel
traditionnelle. Mais elle a parfois connu des soucis de jeunesse côté fiabilité.
Les injecteurs-pompes
Le groupe Volkswagen (Audi, Seat, Skoda, VW) a opté pour un système à injecteurspompes
(un par cylindre), offrant des pressions encore plus élevées (2 000 bars).
D'où d'excellentes performances et une consommation très faible. Bonne fiabilité
d'ensemble
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